Dans le livre « le courage de ne pas être aimé », le personnage principal, un sage philosophe, explique que TOUS les problèmes sont des problèmes relationnels.

Listez quelques situations tendues ou stressantes que vous vivez et vous vous rendrez compte qu’effectivement, il a sûrement raison.

De votre boss, votre chien ou l’employé des impôts…, les relations provoquent autant de coups de cœur que de coups de boule.

 

Tensions, réactions, frictions. Les relations relationnelles, un combat de boxe ?

 

Même si je n’ai jamais, mais jamais, compris l’utilité des sports de combat, j’ose penser « out of the box(e) » et en appelle à la sagesse de Mr Muhammad Ali, grand penseur, grand boxeur, pour dépasser la peur de ne pas être aimé.e, d’être critiqué.e, d’être moqué.e.
(toutes les citations sont de lui).


 

 

 

 

Vous connaissez la phrase :

« vous pouvez être la pêche la plus juteuse du monde, il y a forcément quelqu’un qui n’aime pas les pêches ». (et même avec le Nutella, cela est valide !!! Mais où va le monde !!).

 

Il est IMPOSSIBLE de plaire à tout le monde, de s’entendre avec tout le monde.

Recherchez l’amour ou la reconnaissance du monde entier, c’est chercher le Nutella qui fait maigrir. C’est impossible.

 

 

J’adore l’expression : le leadership n’est pas un concours de popularité.

En fait, la vie n’est pas un concours de popularité, car vous méritez mieux que d’être populaire. Vous méritez le grand luxe.

Or, le luxe, c’est rare et précieux, ce n’est pas pour tout le monde.

Osez valoriser votre singularité et votre différence, que cela plaise à la masse/foule/moutons..., ou pas.

 

 

 

Vous laisser embarquer par l’opinion des autres, c’est les laisser mener le jeu, voire la cadence du combat. Oui, le combat, car à force de vous écraser de peur d’embêter, de déranger, de froisser les autres, ce n’est plus un jeu mais de la douleur.

A la longue, cela finit souvent par un K.O, votre K.O.

 

A force de vous ratatiner ou réfréner vos opinions ou vos contestations et d’encaisser injections et limitations docilement, votre confiance en ressort avec des cocards.

 

Comme je le conseille toujours à mes clientes : la première chose, c’est d’être awaaaaaaare.

Prendre conscience de la situation et savoir où vous voulez aller.

 

 

 

 

Comment faire pour être moins sensible à l’opinions des autres ? Devenir mature !

Pan ! Dans les dents !

 

Les enfants sont les plus grandes divas : besoin d’attention, besoin d’appréciation, besoin d’admiration. Ils sont plus préoccupés par le public que ce qui se passe sur le ring.

A 3 ans, c’est normal ; à 33, c’est… spécial.

 

Comprendre que nous ne sommes pas le centre du monde peut faire de la peine mais c’est aussi une grande délivrance : vous êtes libre d’être qui vous souhaitez.

Churchill le résume à merveille: à 20 ans, on se préoccupe de l’opinion des autres ; à 40 ans, on s’en fiche et à 60 ans, on réalise que personne ne prêtait véritablement attention à nous.

 

Forcément, ce qui est essentiel est de muscler votre confiance. Vous avez une force intérieure qui n’attend qu’une chose : s’exprimer et être mise en lumière.

 

 

Et si vous n’en trouvez pas assez, il est temps de me contacter pour en discuter. Oh yes!

 

 

 

La meilleure défense, c’est de donner aux autres le droit de ne pas nous aimer.

 

Oui, pour être en paix avec ce que les autres pensent de vous, décidez qu’ils ont le droit de se tromper sur vous, qu’elles ont le droit de ne pas vous apprécier, qu’ils ont le droit de ne pas vous aimer.

 

Vous reprenez le pouvoir. Vous décidez d’être au-dessus des critiques.

Vous lâchez l’affaire. Vous arrêtez de vous rabaisser au niveau des attaques hystériques.

 

 

 

 

 

La boxe est appelée un art noble. Dans le combat, apprenez à garder cette noblesse.

Être hermétique aux critiques des autres, c’est aussi arrêter de critiquer, de balayer vos propres méchancetés, esquivez vos envies de blâmer l’entourage, mettre au tapis vos inanités.

 

Soyez awaaaare de votre critique facile alors que l’art n’est pas aisé. Pour personne.

 

Critiquer les autres, c’est apprendre à son cerveau à chercher le mauvais, le stérile, le petit. Le cerveau et votre égo ont de plus en plus faim de sang et de sueur. Or, ce n’est pas glamour.

Mettez de la noblesse et de la finesse dans votre vie.

 

 

 

 

Quand les gens vous mordent (surtout les oreilles), c’est souvent un problème qu’ils ont avec eux et eux-mêmes. Rarement avec vous.

 

Au lieu d’aller dans le corps-à-corps violent, choisissez le tête-à-tête intéressant.

 

La lecture du jeu de l’adverse est une technique de boxe bien utile dans la vie. Comprendre les vraies peurs qui se cachent derrière les embrouilles et les accusations, c’est gagner le jeu.

 

 

 

 

 

Les boxeurs se durcissent les muscles. En clair, pendant l’entrainement, ils se font taper dessus pour que leur muscle s’habitue aux coups et à la douleur (quand je vous dis que je ne comprendrai jamais ces sports…).

Pour vous, c’est la même chose, sans la violence.

 

Je challenge mes clientes à aller chercher la critique, enfin, les feedbacks positifs = feedbacks constructifs, même si pas toujours agréables à entendre. Ce sont eux qui vous font grandir.

 

 

 

Si vous avez besoin d’un coach pour affronter certains rounds de la vie et booster votre confiance et votre endurance : call me now !