Sans pour autant prendre le melon.

Exprimez-vous, partagez vos idées, appelez, contactez, échangez à souhait.

 

Cherchez tous les moyens de vous faire entendre car c’est bien beau d’avoir de grandes idées, de belles pensées mais si vous les gardez au chaud dans votre tête, à part faire de la marmelade, cela ne va pas vraiment vitaminer votre quotidien.

 

 

 

 

 

Ça suffit ! Arrêtez d’être la bonne poire, ou Sainte Julienne, à couper tout en 2 ou en bâtonnet.

Oser dire non. Respecter vos limites avant d’exploser sous la pression.

Avoir un cœur d’artichaut, parfois c’est chaud alors aider, oui ; s’épuiser, non.

Vous n’allez pas déclencher de guerre à utiliser des « non », même si les demandes sont enrobées de douceurs et dégoulinent de chocolat. Vous n’êtes pas la belle Hélène.

(celle de Troie, je précise pour éviter la confusion de mes Hélène amies)

 

 

 

 

Désherber les mauvaises ondes qui vous empêchent de grandir et de vous épanouir.

A force de côtoyer les limaces, vous n’avez plus très envie de g(l)ousser de joie.

S’écraser encore et encore, cela vous fait perdre votre patate.

Votre confiance s’amollit, votre estime se rétrécit et au final, vous avez l’impression de compter pour une prune (même pas au pluriel, c’est pour dire…).

Pour dégager ces vampires d’énergie, ail-lez le courage de les tenir à distance.

 

 

« Elle est chou, elle est mignonne, elle est gentille… ».

A 5 ans, c’est mimi, c’est adorable ; au travail, c’est juste miminable.

A vouloir ménager les chèvres, les moutons et les choux, vous perdez en crédibilité.

Et puis, trop de choux, au bout d’un moment, ça gonfle, ça tend.

Inutile de vous prendre pour une grosse légume mais présenter votre travail de manière posée, sans minimiser ; demander, sans minauder.

 

 

 

Des limites saines et en bonne santé, c’est aussi savoir parler d’oseille. Si la perspective d’aller demander une augmentation, que dis-je ! Si la perspective d’aller demander une équitable rétribution vous donne envie de tomber dans les pommes ou de noyer votre angoisse dans le cidre et les pinards, jouez-la comme Popeye.
Trouver votre boosteur de confiance :
listez TOUS les projets que vous avez menés à bien ; échangez avec des mentors (ou une coach, wink wink) pour mettre en lumière vos qualités oubliées ; préparez la prochaine étape.

Je sais que c’est basilic mais cela fait toujours du bien de les répéter.

 

 

 

Si chaque jour, vous pouvez appliquer les recommandations, d’ici peu de temps, vous pourrez récolter les belles pousses que vous aurez semées.

Cela ne change pas du jour au lendemain mais avec de la prévenance, de la constance et de la bienveillance envers vous-même, vous pourrez donner plus de saveur à votre quotidien professionnel.

 

Et si vous avez besoin d’une aide pour la prise de mesure (et de recul), I am your coach !

Julie, vitaminée

 

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